Il y a 2 mois, je terminais tranquillement ma saison de glace Norvège. Avec toute l'équipe, nous suivions d'un regard lointain les statistiques de types qui tombaient malades les uns après les autres après avoir mangé un Pangolin qui avait mangé une chauve-souris dans un rassemblement évangéliques. Le cuisinier, de nationalité inconnu, devait vraiment être dans l'embarras ..... La veille du départ, alors que nous allions magnifiquement réussir un midi/minuit dans un pub de Narvik, une partie de l'assemblé quittait précipitamment la salle, c'était des marins Français qui avaient tous reçu le même SMS : "retour immédiat vers la France". Heureusement, les bières nous ont aidé à temporiser. Quelques part, on avait un peu devancé tout le monde sur la découverte d'un protocole qui allait passer en boucle sur tous les médias : le traitement du mal par une solution (hydro)alcoolique . Cet état de confinement, personne ne l’avait vécu. Comme face à chaq
Chaque religion à son créateur, chaque sport son mentor. Le dry-tooling n'échappe pas à la règle. Hommage à un génie, Monsieur Stéphane Husson. Quand les coupes du monde démarrent dans les années 2000, les compétiteurs sur glace sont en quête de support pour s'entraîner physiquement. La falaise du Sanglier (74) voit ainsi le jour. Sa voisine, la grotte de “Castor et Pollux” suit rapidement. “Castor” deviendra l’archétype des voies privilégiées des Dry-tooleurs : fort dévers, g rands mouvements dynamiques et balans de l’espace. A lignes futuristes outil adapté. Stef, DD Dulac et l'équipe Petzl nous offre le révolutionnaire "Ergot". Les Français ratent néanmoins le coche de l'image et du spirit. " No Pain, No Gain" sera au dry tooling l'équivalent, en plus funky, de "La vie au bout des doigts" d'Edlinger. Les combats des frères Anthamatten dans "Vertical Limit" sont un électrochoc. L 'essence du D